Partager l'article ! un blog trés bien écrit: Etait-ce la programmation musicale qui commençait à s’améliorer, l’ambiance qui s’&e ...
Elle s’y étendit sur le dos, et moi sur elle. Ivre de désir je remontai sa robe sur son corps enfiévré pour m’emparer de ses fesses, à pleines mains. Mes lèvres papillonnèrent entre ses seins, puis sur son ventre, reconnaissant le chemin qui menait à sa source où j’aimais tant m’abreuver. Elles le suivirent, comme prises d’une soif inextinguible. Je glissai peu à peu à ses pieds, entre ses cuisses ouvertes. En levant les yeux vers elle, je vis un homme dans la pénombre, qui avait aventuré une main entre les barreaux de la fenêtre afin de cajoler les seins de Jeanne. J’ai alors aimé qu’il lui fasse cette caresse là, au point de regretter de le voir disparaître furtivement. Mes lèvres étaient arrivées au bout de leur course, et mes doigts fébriles venaient à la rescousse pour écarter l’ultime dentelle qui me séparait de sa source. Ma langue y plongea, débusqua son nectar qui inonda bientôt mes lèvres, ce qui ne faisait qu’attiser ma soif de son plaisir. Je l’entendis gémir tandis que j’aspirai son bouton entre mes lèvres avides.
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